Conleau, 12 juin 2019.
Aujourd’hui est un jour banal, pluvieux… La mélancolie y a trouvé refuge et, c’est avec l’âme quelque peu désabusée que je regarde vers le ciel depuis la fenêtre de mon atelier. Ce lieu est mon antre où, solitaire, j’arpente, les jours de pluie, mes paysages intérieurs (passés et présents). Comme en ce jour, où archivant et ordonnant ma production photographique, se mêlent souvenirs, pensées, lumière et obscurité, joie et mélancolie.
Je regardais vers le ciel, disais-je, quand soudain, je vis une charmante palombe qui roucoulait fièrement parmi les mîtres silencieuses et stoïques de la maison voisine. Avec l’agilité féline du photographe, d’un seul geste, j’attrapai mon appareil, fis la mise au point et réussis à saisir le bel oiseau dans son envol (le 12 juin à 14:00:05 précise, selon l’indication des métadonnées du cliché !).
Ce sont ces petits riens, ces instants pris à la dérobée, qui éclaboussent de petits éclats de lumière le sombre ciel des jours banals et pluvieux. La mélancolie elle, ne s’est pas envolée mais a pris place dans l’espace laissé vacant parmi les mîtres stoïques et silencieuses… Demain sera un autre jour…
Je regardais vers le ciel, disais-je, quand soudain, je vis une charmante palombe qui roucoulait fièrement parmi les mîtres silencieuses et stoïques de la maison voisine. Avec l’agilité féline du photographe, d’un seul geste, j’attrapai mon appareil, fis la mise au point et réussis à saisir le bel oiseau dans son envol (le 12 juin à 14:00:05 précise, selon l’indication des métadonnées du cliché !).
Ce sont ces petits riens, ces instants pris à la dérobée, qui éclaboussent de petits éclats de lumière le sombre ciel des jours banals et pluvieux. La mélancolie elle, ne s’est pas envolée mais a pris place dans l’espace laissé vacant parmi les mîtres stoïques et silencieuses… Demain sera un autre jour…
