Vannes, le 2 novembre 2020
En ce quatrième jour de l’acte 2, où tout conspire à une mise au tombeau collective, ce vol d’étourneaux me réjouit.
Nous, bretons, savons survivre aux marées noires et aux noirceurs du mois de novembre (miz du). C’est dans notre ADN. Confinement ou pas, la vie continue, « sur la terre comme au ciel ».