Bretagne, 2004
La liberté est pareille au vent qui souffle dans les genêts… C’est l’esprit qui délie les certitudes, les vanités de mes pauvres richesses…
C’est une porte, non un cadre; un passage, dans l’étroit couloir de mes refus, de mes aveuglements, de mes impératifs orgueilleux.
C’est un souffle, comme un ailleurs de passage qui me délie de moi-même, me livrant au silence de l’abîme sans nom, terrifiant et magnifique, obscur et lumineux !
Mes images en quête d’ouverture (ouverture dont le point focal est toujours en avant) sont vouées à un drôle de dialogue d’où parfois d’étranges paroles surgissent